dimanche 31 mai 2009

Début du grand décompte

Le mois de mai se termine dans quelques heures, je commence officiellement mon décompte avant mon voyage de golf à Tremblant!

Deux rondes de golf dans deux des plus beaux terrains du Québec dans 11 jours!

Dure réalité

Ça y est, il va falloir que je passe par dessus mon orgueil masculin pour me mettre à l'évidence. Je n'ai vraiment aucun talent manuel! Surtout pas pour de la peinture. Résultat de tout cela, et bien il y en a aucun justement... Désastre!

samedi 30 mai 2009

Deux petites bouteillea de bonheur!

C'est une des journées des plus longue que j'ai connu à la job, des clients parlant parfaitement français me parlent en anglais, je fini finalement de travailler, je reste pris dans trois bouchons de circulation différents, j'arrive ensuite en retard au resto.

Pas grave, deux bouteilles de vin me disent que la vie est belle et que le reste de la fin de semaine à moi.

vendredi 29 mai 2009

Changement de garde

Il était si jeune, si ambitieux. Peut être un peu trop, voilà ce qui causa sa perte. Le Critiqueux se retire quelque peu pour laisser toute la place à Charb.

Et oui, malgré son jeune âge, ce blogue change de direction. Ces pages qui voulaient être au départ de la pure critique changeront pour devenir l'univers à Charb. C'est sure que le Critiquex va ressortir de temps à autres mais il ne sera que de passage. Charb remplira humblement les fonctions en parlant de tout ce qui lui vient en tête tel sa vie, ses récit de fictions, ses aventure, ses pensées, etc.

Les prochains textes seront plus libres, plus imagés. Vous découvrirez ce qui se passe dans l'univers de Charb!

jeudi 28 mai 2009

Intelligentes ou agaces?

Elles sont partout. Elles ne veulent que vous titiller. Au moment où elles ont notre attention, elles se sentent offusquée. Elles veulent le contrôle. C’est clair non? Laissez-les donc faire. Ne pas s’occuper d’eux est le meilleur moyen pour les faire taire.

Plus facile à dire qu’à faire vous me direz. Effectivement ce n’est pas une tâche des plus simples. Elles sont tellement bien préparées. La jupe aux hanches, le top… Presque pas de top. Leur habillement est explicite, tout pour attirer le regard. Elles nous parlent et on fixe leur peau. Dieu sait qu’il y en a beaucoup. Elles font tout pour qu’on les colle, pour qu’on les cajole. Une fois qu’on ose, qu’on met notre gêne ce côté, elles nous quittent nous traitant d’obsédé.

En ce mois de mai, elles sont ressorties en même temps que le beau temps. Saurez-vous éviter les pièges à temps?

mercredi 27 mai 2009

Le jour de la marmotte

Pour une deuxième année consécutive, la finale de la coupe Stanley mettra en vedette les Penguins de Pittsburg d’un côté et les Red-Wings de Détroit de l’autre.

Surprenant? Aucunement. Les deux équipes ont été les meilleurs dans leur association spécifique durant les présentes séries éliminatoires, car oui tout se joue en série et non en saison régulière (désolé aux fans des Bruins).

Bon je ne suis pas là pour parler de cette finale, je ferai mes prédictions plus tard, je voulais parler du chemin des jeunes Blackhawks de Chicago. Ils n’avaient pas fait les séries depuis la saison 2001-2002. Ça peut être pire? Certainement. Ils avaient perdu leur prestigieuse renommée ainsi que l’appuie des partisans pourtant si fidèles dans les belles années de l’équipe.

Mais tout ce temps de misère est fini. Les Toews, Kane, Versteeg, Seabrook, Barker et Byfuglien font parti des jeunes qui relanceront cette légendaire concession. Les longue années dans les bas fonds de la ligue n’a pas que du négatif. Il en ressort ces jeunes issus de séances de repêchage des plus prolifiques. C’est la preuve qu’il faut parfois faire un ou même deux pas en arrière pour pouvoir se relever et revenir des plus compétitifs. Pour être compétitifs ils le sont et le seront encore bien longtemps.

Une défaite en finale de conférence. Et puis, il n’y a aucune honte à avoir. En plus, s’incliner contre une superpuissance tel les Wings. Les jeunes Hacks ne pouvaient qu’en apprendre d’eux pour ainsi prendre leur place dans un avenir très rapprocher. Ce soir pas de malveillance, seulement de l’espoir. L’espoir de voir du bon hockey pour encore de bonnes années.

Une seule règle:moi!

Voilà au moins un an que je n'avais mi les pieds dans ce merdier. Ce matin je n’ai eu autre choix que d’y aller, petit voyage dans la métropole obligeais.

J’avais prévu le coup, je m’étais arrangé pour que mon rendez-vous se passe hors des heures d’achalandages. Aucune différence. Il y avait quand même du monde. Au départ, je pensais bien que ce ne serait pas si pire. J’avais même pu avoir une place assise. J’avais par contre oublié que je prenais le métro au début de la ligne. Ma naïveté me frappa à la première grande station où une foule pénétra le wagon. Cette foule rempli avec une vitesse assez impressionnante les espaces libres se foutant à tout prix des autres. J’ai toujours été impressionné par le manque de classe des gens, surtout dans le métro. On dirait qu’ils laissent leur savoir vivre à la porte de la station et qu’ils oublient de la reprendre en sortant.

Aujourd’hui je me suis rappelé le fruit de mes quatre ans d’observation antérieurs dans le métro. Il n’y a qu’une seule et unique règle, le moi. Tout les gens ne vivent que pour eux. Ils entrent dans le wagon sans même laisser la chance aux autres de sortir, ils courent pour avoir une place assise, ils bousculent les gens afin de pouvoir courir et finalement, une fois dans leur petit coin, ils ferment les yeux et se cachent sous leurs écouteurs. Mon dieu, que d’individualité dans cette société. Pas capable. Voilà pourquoi je me cherche une job en banlieue maintenant. Fini le métro pour moi.

mardi 26 mai 2009

Petit mot pour dévierger cette page

Bienvenue à toi cher lecteur.

Ce premier texte sera bref. Mes excuses à ceux qui avait de grande attentes envers ce premier texte. Ce n'est quand même que le premier.

Après tant d'année à critiquer dans mon salon avec comme seul auditeur ma plante verte, je me suis enfin décidé à écrire le fond de mes pensées.

En créant ces pages, je ne sais trop ce qui arrivera. Je vous avoue que je n'ai pour l'instant aucun style, aucune idée de sujet et je ne sais aucunement comment maximiser cet espace. Le temps me le dira surement.

Mon but premier était de faire des critiques d'œuvres soit littéraires ou cinématographiques. Mais tant qu'à critiquer, autant bien le faire pour de vrai. Alors je parlerai de tout et de rien. Ce qui me vient en tête vous le saurez. Ce qui me fatigue vous le saurez. Ce que je déteste vous le saurez. Ce que j'aime, et oui, vous le saurez.

Dans le fond, je sais maintenant une chose. Ces pages vont me servir de défouloir. Plus besoin de courir des heures de temps, de suer un bon coup et de souffrir pendant des jours pour sortir le méchant. Dès maintenant il sortira sur vous!